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La marmite norvégienne a la bougeotte. Elle est partie sur un voilier, et pas un petit voyage, une transatlantique !

Depuis un petit port de Bretagne, direction les Açores, point de départ privilégié pour traverser l’Atlantique. Avec une escale par beau temps dans le golfe de Gascogne.
A bord, par temps calme l’équipage a préparé des plats simples avec Manae bien calée dans l’évier.
La marmite norvégienne peut idéalement être posée sur un réchaud (éteint !) à balançoire.

Sur un voilier, l’autonomie est importante. Avec une marmite norvégienne, vous faites jusqu’à 70 % d’économies d’énergie !
Après avoir monté la gamelle, ou faitout, ou cocotte, à température sur le gaz ou la plaque électrique, emmitouflez le plat dans la marmite norvégienne. Bien calée dans l’évier, ou sur un réchaud à balance, le plat continue sa cuisson à basse température.
Pas besoin de surveillance pendant la navigation. Voir son fonctionnement ici

Pendant la manoeuvre, le plat est maintenu au chaud jusqu’à ce que l’équipage soit prêt pour le repas. Cap fixé, voiles réglées, on peut ouvrir la marmite norvégienne pour se réconforter.
Vous appréciez les parfums des légumes, la tendresse de la viande.
Les légumes secs sont très pratiques à bord. Avec la marmite norvégienne, 10 minutes maximum sur le feu, et une heure ou plus dans la marmite norvégienne. Une méthode très simple pour préparer lentilles, haricots secs, pois cassés ou pois chiches.